Le tutorat dans la formation paramédicale.

Résumé

ELBIR BOUSAAD PEPM
ELBIR BOUSAAD PEPM

Toutes les formations professionnalisantes, sont basées sur le

principe de l’alternance, qui coalise la théorie et la pratique ; l’outil indispensable pour cette coalition reste le tuteur de stage

Mots clés : Formation, tuteur, stage, alternance, apprentissage

Introduction

Depuis la naissance du monde, l’homme a toujours cherché à comprendre et à donner des explications à certains phénomènes, dans le but de se protéger, protéger les siens, se nourrir et nourrir les siens. Pour répondre a ces questions il recourait souvent a des personnes plus qualifiées ou plus intelligentes que lui.

Dans l’antiquité celui qui maitrisait le savoir, maitrisait le pouvoir.

Par conséquent,  la notion de maitre est plus vieille que le monde lui-même.

Le serment d’Hippocrate  reste un écrit intemporel. Il a été rédigé au  quatrième siècle avant jésus christ. Il  énonce : « ….. Je mettrai mon Maitre de Médecine au même rang que les auteurs de mes jours ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement… »

A la décadence de la culture gréco romaine, ce fut  l’apogée de la civilisation arabo musulmane dont les traces de maitres d’application sont toujours vivantes notamment dans les écrits du précurseur de la sociologie.

Vers les années 1373, une querelle agita à grenade, les muridine.

Ce sont des croyants qui répondent à un appel personnel qui les pousse à s’engager dans la voie de la vie mystique dans le but de parvenir au-delà du discursif et du senti c’est-à-dire au-delà de leurs propres limites.

Le murid est toujours en situation de disciple depuis son initiation jusqu’à l’obtention éventuelle de son but.

Cependant une question divisa les apprenants en deux groupes antagonistes. Le motif de cette division est sous tendu par deux questions :

–    Pour s’engager dans cette voie est-il indispensable de se mettre sous la conduite d’un maitre spirituel ?

–    Ou peut on se diriger soi même et pour cela se contenter d’utiliser individuellement les livres ?

C’est en partant de ce questionnement que  le célèbre précurseur de la sociologie Ibn Khaldun  a écrit son mythique livre  « la voie et la loi »

Six siècles après cette querelle, le sujet du maitre d’application est toujours d’actualité tant pour la formation initiale que pour la formation des formateurs.

Les programmes de formation sont minutieusement élaborés et judicieusement balisés par des objectifs généraux et des objectifs spécifiques.  Le volet pratique reste le parent pauvre de la formation même si une abondante production (thèses, mémoires) est publiée, les causes essentielles de cette absence d’engouement pour la formation pratique sont liées à notre sens à la rudesse du terrain de stage, à  la non formalisation du maitre d’application.

L’objectif de ce dernier est d’orienter et de canaliser les connaissances théoriques en vue de les transformer en savoir pratique.

Il devrait tenir compte en outre des qualités morales et de la personnalité de son disciple.

Par ailleurs le maitre d’application doit avoir le recul nécessaire afin d’évaluer et de corriger l’apprentissage, l’objectif final  étant de construire la carrière de l’apprenant basée sur le savoir, le savoir faire  et le savoir être.

Sur le plan pratique, le maitre d’application selon les domaines  peut s’appeler : le maitre formateur, le conseiller pédagogique, le maitre d’accueil, le tuteur…..

Ce qui fait de lui un maitre, c’est la quantité et la qualité de l’expérience qu’il possède, quantité car il s’agit d’un professionnel confirmé, qualité car le fait qu’il soit choisi par l’apprenant ou désigné par l’administration atteste qu’il s’agit d’un modèle en la matière.

Clarification des concepts

Capitalisation du savoir :

Mise en place des systèmes de recueil, de formalisation et d’échange de procédures efficaces inventées par un individu , ou par un groupe sur un site déterminé. Dans le but, de les communiquer aux nouveaux arrivants, ou a des salariés, travaillant sur un site différent.

Le tutorat :

C’est une relation entre deux personnes dans une situation formative :

  • un professionnel
  • une personne en apprentissage d’un métier dans son environnement.

Le tutorat, revêt un caractère dynamique et pédagogique, pour transférer des éléments de savoirs, en situations professionnelles.

  Les tuteurs :

Ce sont, des travailleurs de l’établissement d’accueil, spécialement désignés pour veiller sur des stagiaires.

Trois critères, d’égale importance devraient influencer le choix d’un tuteur :

  • sa maitrise professionnelle.
  • sa motivation.
  • ses capacités relationnelles et pédagogiques.

Compétence :

Savoir faire efficace dans une situation déterminée.

Elle est généralement liée à un métier, à une profession, a un statut ou a une situation professionnelle de référence.

A ce titre elle implique à la fois des connaissances déclaratives, des connaissances procédurales et des attitudes.

 Objectif :

Énoncé d’intention, décrivant le résultat concret attendu à la suite d’une action.

 Behaviorisme :

Théorie psychologique, qui fait du comportement observable  l’objet même de la psychologie, et de l’environnement. L’élément clé de la détermination et de l’explication des conduites humaines.

Selon cette approche, l’apprentissage est une modification du comportement provoquée par les stimuli venant de l’environnement.

 Cognitivisme :

Ensemble de cognitions (savoirs, croyances, représentations) qu’un individu a « emmagasiné » dans sa structure cognitive, durant toute son existence.

Le cognitivisme représente l’ensemble des théories portant sur les processus d’acquisition des connaissances issues de l’intelligence artificielle et de la cybernétique. Le terme vient du latin “cognitio”, qui signifie “connaissance”.
Les sciences cognitives font appel à la biologie, à la psychologie, à la linguistique, à la logique et à l’informatique. Elles ont pour objet la connaissance, la mémoire, la perception, le raisonnement, et utilisent comme modèles, pour décrire l’esprit humain, l’ordinateur et l’intelligence artificielle (IA). Elles offrent des modèles de constitution et de gestion de l’activité psychique utilisés en psychologie, en psychiatrie et en philosophie analytique.

 Constructivisme :

En psychologie ; position théorique qui estime que le développement d’un individu, est un processus permanent, de construction et d’organisation des connaissances.

L’individu est programmé, pour acquérir les connaissances dans un certain ordre, à condition que le milieu fournisse, les stimulations nécessaires au moment voulu.

C’est un modèle ayant pour principal précurseur le français Jean PIAGET, il se concentre sur la construction de l’apprentissage.

Pédagogie de l’alternance :

Dispositif de planification de la formation, basé sur un principe d’interaction entre, des situations de formation et des situations de production.

Celle-ci retrouvée dans tous les cursus de formation a dominante professionnelle « la pratique du terrain » ou des étudiants viennent contrebalancer » le tout théorique de l’enseignement »

Compétent :

se dit d’une personne capable de mobiliser les savoirs, savoirs faire  et savoirs être nécessaires a l’accomplissement d’une activité ou a la maitrise d’un poste.

 Comportement :

Ensembles de réactions, de manières de se conduire et d’agir d’un individu observables objectivement.

 Savoir faire :

Mise en œuvre d’un savoir et d’une habileté pour une réalisation spécifique.

Le savoir-faire est différent des autres savoirs comme la connaissance scientifique car il peut être directement appliqué à une tâche. Le savoir-faire en résolution de problèmes est différent de la connaissance sur la résolution des problèmes.

 Revue de la littérature :

 

  1. Recension des écrits :

 

Le stage auprès d’un maitre d’application donne aux apprenants la possibilité de :

– appliquer leurs connaissances théoriques  et de renforcer leurs connaissances techniques ;

-développer et exercer leurs jugement le sens de l’initiative ainsi que leurs habileté de direction et de décision ;

-de mieux comprendre les normes d’intégrités de déontologie et d’Independence et d’y adhérer ;

-apprendre à répondre aux besoins des élèves et de l’institution ;

-d’acquérir un esprit entreprenarial ;

-d’améliorer leurs habiletés en communication professionnelle et en relations interpersonnelles.

Tous ce processus de transformation s’effectue sous la conduite bienveillante du maitre d’application qui a son tour assure trois fonctions :

-conseils et formation vis-à-vis de l’apprenant ;

-garde-fou vis-à-vis des élèves ;

-évaluation car il est responsable vis-à-vis de l’institution et témoin des expériences de l’apprenant.

Il lui appartient de porter un jugement sur sa capacité à devenir ce qu’il est lui-même c’est-à-dire un professionnel de l’enseignement et de la formation.

Il véhicule auprès de l’apprenant une attitude qui a des incidences indéniables sur la façon dont les apprenants conçoivent leur future profession.

Il doit concilier entre la compétence, les savoirs, la disponibilité, et enfin  mettre a profil son expérience afin de construire l’identité professionnelle du futur professionnel  qui va susciter en lui le dynamisme et l’activité ainsi que l’amour de la découverte et de la créativité qui entretiennent en lui une constante motivation celle-ci pousse l’apprenant  à accomplir ses tensions émotionnelles qui peuvent être soit :

–     un besoin d’activité nouvelle ;

-un besoin d’ordre social notamment l’intégration dans le milieu professionnel ;

-besoin psychologique qui est la réussite et donc l’estime de soi.

L’importance de ce processus n’est pas limitée à l’acquisition de connaissances ou d’habiletés particulières, mais participe a l’élaboration de la personnalité toute entière.

Toute acquisition qu’elle soit de nature sensori-motrice, conceptuelle ou sociale retentit sur les autres composantes de la personnalité et contribue à façonner celle-ci qui n’est pas une donnée  biologique héréditairement transmise.

Elle est une construction, fruit d’une interaction constante entre l’individu et son environnement.

 

« Si le sage est vraiment sage, il ne vous convie guère à  entrer                

                             Dans la demeure de la sagesse, mais plus tôt vous mène

                             Jusqu’au seuil de votre propre sagesse » 

                                                                  Khalil Gibran.

  1. Le tutorat à travers le monde :

La mission tutorale est ancienne : on en trouve des traces depuis le Moyen Age. Jusque dans les années 1980, elle s’exerce exclusivement dans le Cadre de l’apprentissage, la loi ne l’apprenant en compte que pour indiquer Succinctement les missions du maître d’apprentissage. Avec l’introduction des contrats d’insertion en alternance, on constate un développement et  Une diversification du tutorat.

En France :

Les principales situations faisant appel au tutorat :

– Contrat d’apprentissage (tutorat obligatoire et cadre juridique),

– Contrat de professionnalisation,

– Mobilité, adaptation à un nouveau poste de travail,

– Stages, périodes de formation en entreprise et de professionnalisation.

Quel que soit le cadre dans lequel s’inscrit le tutorat, les principales missions du tuteur sont de :

– révéler et transmettre la réalité de son métier en facilitant l’observation et l’appropriation par l’apprenant des savoirs, savoir-faire et comportements professionnels via un accompagnement quotidien et individualisé.

– déterminer un parcours de formation, des outils et des techniques pédagogiques favorisant l’acquisition des compétences nécessaires à l’exercice de ce métier,

– favoriser l’intégration dans l’entreprise et le partage de la culture « maison ».

Pour renforcer l’adhésion des tuteurs :

Plusieurs moyens sont mis en place par les entreprises pour valoriser les tuteurs, à titre d’exemples :

– du temps libre pour exercer son rôle de tuteur

– une prime / une reconnaissance salariale

– une démarche de certification des compétences de tuteur.Loi du 13 janvier 1998

Le tuteur doit justifier de deux ans d’expérience et d’un niveau de qualification  au moins égal à celui visé par le jeune.

Circulaire du 2 juin 1998.

Limitation à trois du nombre d’apprenants par tuteur (deux si le tuteur est le chef  D’entreprise)

En Espagne :

Il n’existe pas de législation spécifique, les mots qui s’apparentent au maitre d’application sont utilisés mais avec un tutorat mal organisé considéré comme tache secondaire et non rémunérée.

En Suède :

La loi stipule que chaque apprenti aura un tuteur officiel dans son lieu de stage, celui-ci est responsable du développement professionnel de l’apprenti, indépendamment du tuteur pédagogique le tout par un accord collectif et toute cette législation date des années quatre-vingt-dix.

En Suisse :

Le mot tuteur n’existe pas. Ils utilisent par contre le terme de formateur en entreprise qui subit une formation de cent heures sanctionnée par un certificat.

En Allemagne :

Ils ne parlent pas de tuteur mais de mentor, de maitre de stage avec des certificats bien réglementés suite à deux cents heures de formation portant sur sept modules et souvent ces maitres de stage deviennent des formateurs.

En Pologne :

Ils utilisent l’appellation d’instructeur d’apprentissage pratique et pour avoir ce titre il faut un diplôme professionnel post baccalauréat en lien avec la formation et trois ans d’expérience suivis de quatre vingt heures de formation.

La conception du tutorat Selon certains auteurs :

Perrenoud. P :

PERRENOUD (1994) affirme que le véritable apprentissage se produit dans une situation réelle. La situation réelle n’est pas la classe, l’école, mais l’environnement clinique. C’est là qu’évolue l’encadreur de terrain. Il soutient de ce fait que l’encadreur de terrain doit favoriser l’explicitation des attentes et du contrat didactique; verbaliser ses propres modes de pensées et de décision; ne pas jouer la comédie de la maîtrise, renoncer à incarner une norme, un surmoi, un modèle; exprimer ses doutes, ses peurs, ses ambivalences, ses lassitudes, se mettre en jeu comme personne, ne pas se cacher derrière son rôle; accepter les différences comme irréductibles; et prendre les erreurs comme des occasions de progresser.

Quand on part d’une connaissance, on se met en quête de situations

susceptibles de la mobiliser ; on en identifie en général plusieurs, dont

chacune fait en général appel à d’autres connaissances que celle dont on se

préoccupe .

Quand on part d’une compétence, on se focalise d’emblée sur une famille de situations et on s’intéresse à l’ensemble des ressources cognitives

(Connaissances et capacités) nécessaires pour y faire face.

Theberge . M :

Amorcer un dialogue sur la pratique des maitres amène peu à peu à s’interroger sur la question des savoirs et des compétences générés dans ce contexte. même si la tendance actuelle est de miser avant sur l’apprentissage réalisé lors de stages et de situations réflexives (séminaires, écriture d’un mémoire) il n’en demeure pas moins qu’un cadre formel de cours reste partie prenante de la formation offerte et que le contenu qui y est véhicule a des incidences indéniables sur la façon dont les apprenants conçoivent leur profession le constructivisme comme modèle de formation permet a la fois de concilier les composantes de la personne, du milieu, du savoir et de la gestion dans l’enseignement.

Cette démarche permet également d’incorporer différentes démarches pédagogiques et divers styles d’enseignement.

 Mérieux. P :

La question du transfert des connaissances est, à bien des égards, au centre de toute réflexion sur l’éducation et la formation. A un premier niveau, elle consiste à s’interroger sur les conditions qui permettent à un sujet de réutiliser des connaissances acquises dans une situation pédagogique, ailleurs et à sa propre initiative. Elle est donc liée à toute interrogation sur l’efficacité d’une situation d’apprentissage: celle-ci permet-elle seulement de réussir les épreuves d’évaluation finale (examen, validation interne) ou a-t-elle une portée à plus long terme qui permet au sujet un accès à l’autonomie? Sur un plan plus général, la question du transfert de connaissances renvoie aux moyens que le pédagogue met en œuvre pour permettre au sujet de se dégager   des liens et systèmes d’aide qui lui auront été nécessaires à un moment donné de son évolution. La recherche dans ce domaine requiert un détour par l’élucidation du rapport entre le développement et les apprentissages.

Altet :

Dans le domaine scolaire la formation des enseignants passe  d’une approche empirique à une approche d’application du savoir savant pour passer à une approche réflexive Le stagiaire y est amené à « construire » son projet de formation et son propre projet professionnel.

Aujourd’hui, la réalité du terrain dans les écoles et les différents discours pédagogiques constituent pour l’enseignant stagiaire un défi énorme. Une formation initiale ne peut donc viser uniquement le développement d’aptitudes fonctionnelles ou l’application de savoirs scientifiques. Elle nécessite l’installation d’un tutorat pour accompagner le stagiaire à confronter la complexité du métier. Une telle démarche de formation passe nécessairement par la rencontre et la parole singulière. Elle se soutient des attentes de reconnaissance et de savoir que le stagiaire adresse au tuteur en tant que « sujet-supposé-savoir. On s’y retrouve donc dans ce que les psychanalystes appellent le transfert.

Chaque stagiaire a sa propre stratégie pour travailler ou éviter ce nouage des savoirs. En effet, à travers nos premiers entretiens nous pouvons constater que certains envisagent travailler sur un seul type de savoir. Les uns misent sur le savoir disciplinaire, d’autres sur les techniques y inclues les stratégies de séduction. C’est uniquement après avoir vécus certains conflits ou échecs qu’ils voient la nécessité à nouer ensemble : les savoirs disciplinaires, les gestes pratiques et un positionnement éthique.

Du côté stagiaire, ce nouage se fait d’autant plus difficile, si le stagiaire reste dans une position de soumission vis-à-vis du tuteur ou d’un autre « sujet- supposé-savoir ». Certains stagiaires se sont rendu compte de cette attitude de dépendance. C’est « avec une aide externe » qu’ils ont commencé un travail de séparation.

Conclusion

Le maitre d’application  permet d’accompagner l’apprenant sur son chemin de formation par le biais de partage,  de valeurs, de vision, de travail réel. L’évaluation du rôle du maitre d’application  a montré de réels bénéfices dans l’accueil et l’intégration du stagiaire   dans une équipe, voire une accélération d’acquisition de nouvelles compétences.

Des arguments ont été mis en avant pour montrer  qu’en plus des activités pédagogiques initiales des maitres d’application  ceux-ci occupent des fonctions managériales.

Toute fois les maitres d’applications contribuent à la construction de l’identité professionnelle des futurs professionnels  et sont les témoins de la socialisation de ces derniers dans le milieu pédagogique.

Ce qui demeure en suspens c’est   le fait que le maitre d’application ne laisse aucune empreinte de son encadrement  dans le temps. Il reste à trouver un moyen de formaliser les activités des maitres d’applications après leur identification dans les différents instituts selon des normes de qualité qui restent à définir.

Bibliographie

  1. Mémoire de fin d’études de Mr ELBIR ( B) professeur d’enseignement paramédical session  juin 2012.  Batna
  2. Antoine (C.) ; Angel(S), Petit Larousse de la Psychologie, Edition Larousse, Italie, 2010.
  3. Alain (B.), Le tutorat une solution pour les élèves a risque, Edition de Boeck, Bruxelles, 2010.
  4. Ibn khaldun (A.),  La voie et la loi, Edition Sindbad, Dijon 1991.
  5. Jean-Marie (P.), Dictionnaire des ressources humaines, Edition Vuibert,
  6. 6 éme Edition, Paris, 2011
  7. Khallil (G.), Le prophète,  Edition  sindbad, Paris, 1982.
  8. Marguerite (A.) ; Leopaule (P.) ;  Philipe (P.), Formateurs d’enseignants.  Edition de Boeck,  Bruxelles 2002.
  9. Marguerite  (A.), Les pédagogies de l’apprentissage, Edition PUF, Paris, 2006.
  10. Mariette (T.), Former a la profession enseignante, Edition  logiques,
  11. Québec, 2000.
  12. Monique (L.) ; François (G.), Favoriser la progression des stagiaires en enseignement, Edition presse universitaire du Québec, Canada, 2011.
  13. Patrice (P.), Accueillir, former des enseignants, Edition chronique sociale, Lyon, 2003.
  14. Philippe (P.) ; Marguerite (A.), Conflit de savoirs en formation des enseignants, Edition  de Boeck,  Bruxelles, 2008.

webographie :

www.Scolarvox.com (bibliothèque virtuelle)

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